Cette histoire est bien la plus folle que j’ai entendue cette semaine.

     Le golfeur, Tiger Woods, dont l’épouse a découvert ses nombreux « coups » sexuels hors mariage, est en thérapie.

     Eh oui !

     Tiger Woods serait en Afrique du Sud, dans une clinique spécialisée, pour soigner sa «dépendance» au sexe !

     Quand on pense qu’on a tout entendu dans la vie, arrive une histoire de la sorte. N’est-ce pas merveilleux ? Ce n’est pas mêlant, je ne sais pas si je dois pleurer ou bien me tordre de rire ?

     Pôve lui ! Ce n’est pas de sa faute s’il a eu autant de maîtresses ; il est malade.

     Non, mais… Il ne faudrait pas nous prendre pour des tarés !

     Aye ! Le gars, c’est Tiger Woods, le champion golfeur !

     Il y a plein de gars qui ont l’air des pichous, qui n’ont pas deux cennes à frotter ensemble, et qui ont des maîtresses. Vous savez le genre mononcle Roger, en habit de fortrelle, à l’air colon-épais, épais-colon. Le genre qu’on se demande comment il a pu se trouver une femme ? Bien, ce gars-là, y’a des maîtresses !

     Et là, vient Tiger Woods : beau bonhomme, bien «shapé» et «full» fric. 

     Les filles ne doivent pas du tout, du tout courir après lui !

     Aye ! Voyons ! Ça doit être comme à l’urgence : « Prenez un numéro » !

    Woods vit dans ses valises. Grands hôtels, grandes soirées, grand, grand, grand tout le temps.  Le gars, c’est un gars. Encore plus, le gars, c’est une icône !

      Alors, toute cette histoire de désintox du sexe n’est-elle pas plutôt un coup de marketing pour redorer l’image de Woods pour qu’il puisse reprendre sa carrière de golf ?