Ce que je dirais à un immigrant – La Presse+


Direz-vous, encore une autre histoire sur la fameuse Charte des valeurs québécoises !

Bien oui. Il y a quatre sujets ces temps-ci :

  • les Olympiques
    Ça achève !
  • la Commission Charbonneau
    Ce n’est pas près d’achever !
  • les élections
    Vont-ils finir par le faire, leur quatre ans ! Il me semble qu’il y a bien d’autres chats à fouetter que de repartir en campagne électorale. On pourrait s’occuper de nos petits vieux, de la santé, de l’éducation, des infrastructures désuètes, de la dette, de la très grosse dette ? Il me semble qu’on pourrait mettre notre argent ailleurs que dans des élections. On dirait que c’est une stratégie : quand on n’est pas capable d’adresser les vrais enjeux socio-économiques de la société, on repart en élections. Puis, personne ne se rend compte qu’on tergiverse.
  • la Charte
    Ça aussi, ça a l’air partit pour durer un petit bout. Mais ce que je trouve particulièrement intéressant dans ce débat, c’est d’entendre l’opinion des immigrants, toutes origines confondues, sur le sujet. C’est pourquoi je partage ci-dessous, le texte d’opinion de Boucar Diouf, paru dans La Presse+ et partagé par le mouvement Les Janette. 

    Ce que je dirais à un immigrant – La Presse+.

Bonne lecture !

Commentaires

2 comments on “Ce que je dirais à un immigrant – La Presse+”
  1. Quartenoud dit :

    Ola! La dette de l´état permet au habitants de vivre plus confortablement! Les désagréments liés à ses intérêts et à son remboursement chargent généralement plus les riches! C’est pourquoi on les voit toujours lutter contre! Ce n’est pas ces « sacrés bleus-foncés » qui vont me contre-dire! Et sache que si tu crames 100 bals, tu les perds, mais l’état ne perd que le coût de fabrication du billet!

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    1. GinTonHic dit :

      Merci pour votre commentaire.

      C’est vrai que la dette permet de vivre plus confortablement.

      Par contre je ne pense pas que ce sont les plus riches qui payent pour les intérêts et le remboursement de la dette. Les plus riches ont souvent les moyens d’échapper aux impôts. C’est la classe moyenne qui paye pour les pauvres et à la place des riches.

      Il n’est pas normal que les plus riches puissent s’en sortir avec des évasions fiscales quand les autres sont taxés à l’os et sont sans moyens de contribuer aux évasions fiscales….

      J’aime

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