Parce qu Claude Léveillé n’est plus…
Encore une fois, ce soir, cette musique, ces mots, cette poésie me transporte. Je danse. Je danse. Je vibre. Je sens. Je ressens. Sublime.
Tom Waits. Leonard Cohen. Mieux encore. Coeur sans pays, de Claude Léveillé, 2008.Est-ce cela, l’atteinte de la perfection ?
Qui suis-je pour m’avancer ainsi, moi, presque ignare ?
Qu’importe d’où je viens, j’aime. J’aime du plus profond de moi. J’aime avec mes oreilles, ma tête, mon corps, tout entier. J’aime totalement. Entièrement. De tous ses vents.
« Cet album est livré tel qu’il l’a voulu, sans retouches », dit la pochette.
Retoucher, ne serait-ce qu’un petit mot, qu’une virgule, aurait été de l’autodestruction. Non. Il n’y a rien, vraiment rien à retoucher. Rien. Rien de rien.
De cette merveille, on a trop peu parlé.
Monsieur Léveillé, merci de nous avoir offert ce trésor. Un album, qu’on dirait, descendu du Ciel.
Pour un aperçu de ce CD.
GinTonHic
Ce soir, j’ai pleuré comme si un membre de ma famille est mort. J’ai été surprise de ma réaction, commer si je ressentais la tristesse de laisser partir un être aiméet proche. Je suis de l’époque des boîtes à chansons et je crois que pour cela, je suis de la famille. J’ai la tête pleine des poèmes de Claude Léveillé.
J’aimeJ’aime
Bonjour, à mon grand étonnement, je trouve une personne du même nom que moi, et même prénom, j’écris aussi, les mots sur les maux, je peins…
je réalise sur bois mes œuvres, et sur mon blog perso, mes états d’âmes…j
e garde cette page en favoris !
Joyeux Noël…
Amitiés Claude dit Claudy.
J’aimeJ’aime