Danser
Tourbillonner
Jusqu’à oublier
Oublier le passé
Croire ne t’avoir jamais aimé
Danser
Voguer
Reprendre la mer
S’éloigner de cette terre
Cette terre meurtrière
Qui fût pourtant ma mère
Souvenirs amers
Danser
Danser
Contre son gré
Contre vents et marées
Vouloir désespérément t’oublier
Danser
Danser
Jusqu’à en crever
Oui danser
Danser
Jusqu’à ce que mon cœur cesse de t’aimer
Ah Chère GinTo !
Ta poésie est de retour, mais de ta tristesse tu ne sembles vouloir te défaire …. A quand le plaisir de découvrir un de tes sourires.
J’ai relevé ces quelques phrases pour toi dans un livre qui m’est cher …..
» Il faut être libre pour apprendre le grand alphabet de la création, pour écrire, ici et maintenant, le paradis. Alors toute écriture devient nécessairement une lettre d’amour. » Quand j’écris, je t’aime » note le poète Auden. En fait, il faut pousser l’idée encore plus loin : on ne devrait mourir que par amour, et non d’une mort tragique; on ne devrait créer que pour dépasser cette mort et ne cesser de créer que par cette mort. »
Bises
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