Le bonheur, un délire de la préhistoire


     Pourquoi refuser le rêve de Cro-Magnon et pousser la recherche du bonheur jusqu’à l’extrême onction ?j_chabot

     Parce que l’Homme est homme et qu’il ne peut nier ses origines génétiques !

     L’Homme moderne vit dans un état de perpétuel coït interrompu, si on le compare à ses prédécesseurs.

     En effet, malgré l’apparente évolution entourant l’Homo sapiens, dit homme moderne, ses instincts primaires sont demeurés semblables à ceux de ses premiers ancêtres, en l’occurrence : l’Homo ERECTUS.

     L’Homo erectus est considéré comme étant le premier homme véritable. On l’appelle aussi : homme dressé, car il est le premier de sa lignée à tenir droit debout. 

     En raison de ses conditions de vie, l’Homo erectus mène une vie beaucoup plus trépidante, torride et exaltante que l’Homo sapiens.

     L’Homo erectus partage sa vie entre ses deux seules passions : la chasse et le sexe.

     Avec plusieurs de ses amis, il chasse des animaux souvent féroces. Il attaque, presque à mains nues : de très dangereux rhinocéros ; de redoutables ours, panthères et lions ; et poursuit au pied de course de très rapides chevaux sauvages.

     Chaque jour, sans interruption, à la nuit tombée, repu, Homo erectus regagne sa grotte. Là, une plantureuse Homa erecta attend au coin du feu pour l’aider à redevenir un « homme dressé » ! 

     Le jour suivant, Homo erectus, rassasié de ses prises de la veille, repart, ragaillardi, chasser la bête. Plus son désir de s’alanguir sous la poigne ferme de son Homa erecta, plus la chasse est intense. Grrrrr !

     Alors, qui croit encore que l’homme moderne peut trouver le bonheur chez Wal-Mart quand il possède en lui des gênes d’Homo erectus ?

Commentaires

One comment on “Le bonheur, un délire de la préhistoire”
  1. Exaequo dit :

    Humour préhistorique :

    Thermodactyle : Animal préhistorique qui a survécu à l’ère glaciaire grâce à sa fourrure isolante

    Pour se protéger du froid, les hommes préhistoriques se faisaient des vêtements en épluchant des moutons.

    (Marc Escayrol)

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